visuels
Cette semaine, place à un peu de nostalgie pour le 44e numéro de Comme un…
Les 13°C sur l’affichage de la voiture confirment que l’automne est bien là malgré l’ardeur…
Jeu du hasard pour le premier jour de la semaine, lorsque rien ne coïncide et…
Histoire de prendre le lundi matin du bon côté, la sélection visuelle hebdomadaire rêve d’ailleurs, avec des filles, des flots, des flamants roses, du ciel bleu, de beaux petits déjeuners. À savourer avec un excellent mix de King So So.
Toujours le même refrain, toujours la même ritournelle. Le lundi est une gueule de bois hebdomadaire, un mauvais réveil, une sortie d’anesthésie en bad trip. Le lundi est une tasse de café renversée, un Efferalgan jeté par mégarde dans un verre de whisky glace, un barbecue avec de la viande perimée. Bref, le lundi est une erreur. Pour se sortir de cette mauvaise rengaine, la rubrique hebdomadaire “Comme un lundi” prend le contre-pied de ce mauvais karma et dévoile 10 jolis visuels à contempler en écoutant le mix de Lucien “Papalu” pour Radio Marais.
Lundi. Cinq lettres qui font plus d’effet que n’importe quelle drogue sur le cerveau des citoyens appliqués que nous sommes. Comme un éternel recommencement, le lundi sonne le glas du désordre de ces deux jours chômés, où la pose horizontale prend généralement le dessus sur les activités verticales. Comme un éternel recommencement, le lundi sonne, comme un réveil, le début d’un cycle de cinq jours aussi appelée semaine, que certains résumeront en un simple “métro / boulot / dodo” tandis que d’autres lui préféreront un “métro / boulot / apéro(s) / vélo et/ou taco / dodo”. Pour reprendre cette folle rengaine qui nous tue tous à petits feux et lui donner un peu de piquant, la nouvelle édition de Comme un lundi voit la vie en grand avec 10 visuels à contempler en écoutant le dernier mix d’Abstraxion sur Beats in Space, l’émission de radio de Tim Sweeney.
La cheminée qui crépite, le vin rouge qui laisse une trace sur la commissure des lèvres, les bols de soupe frémissante, les œufs à la coque, les envies de laine tressée et de pull mohair, les chamallows qui flottent dans le chocolat chaud, la peau fripée par le bain, le livre sous la couette en écoutant tomber la pluie derrière les volets… Pas de doute, c’est bien l’automne. Le nouveau numéro de Comme un lundi prend le contrepied d’une saison qui a le moral en berne et se réjouit de tous ces plaisirs d’automne. À savourer en écoutant le dernier mix des britanniques de Crazy P pour Data Trasmission.
Terrifiant ou érotique, traditionnel ou animal, rituel ou festif, le masque de théâtre ou de carnaval dissimule autant qu’il dévoile. S’il cache l’identité de celui qui le porte, il laisse aussi en apparaître un autre, une facette audacieuse, un visage que l’on arbore pour se déguiser et surtout, se construire un personnage loin de celui que l’on est réellement. Des Daft Punk casqués aux méchants terrifiants des films d’horreur en passant par les loups de soirées, la sélection visuelle masquée accompagne le dernier clip de Bot’Ox, The Face of Another.
Certains sont devenus mythiques pour les couples plus ou moins légitimes qu’ils ont hébergé, ou par leur seul nom : Heartbreak Hotel, Hôtel Amour ou Chevalier, Château Marmont… Pour accompagner le dernier clip de Foals, Late Night, qui filme des scènes plus ou moins violentes dans les chambres d’un hôtel roumain, la sélection visuelle À double sens ne frappe pas avant d’entrer et dévoile 16 clichés de motels californiens, de scènes de films ou de moments privés de stars, comme Marilyn ou les Rolling Stones, dans des suites désormais cultes.