The Rapture
Février 2011 : le premier album du prodige Nicolas Jaar sort enfin. Comme pour annoncer prophétiquement que l’année sera bonne, les 14 titres de Space is only noise donnent le ton. Au milieu de l’année, la Côte anglaise musicalement revisitée par Metronomy laisse présager un été en haute forme. Dans la foulée, fin juin, The Rapture nous assomme avec un tube rodé pour les dancefloors (How Deep is Your Love). L’histoire musicale de 2011 est encore longue… Pour faire – plus ou moins court – voici une liste non exhaustive et totalement subjective des 100 morceaux qui ont marqué ces 12 mois ainsi que les meilleurs titres et albums selon des Djs et activistes musicaux…
Après le dossier sur les albums pour terminer l’été, partons chaque jeudi à la découverte des meilleurs de la rentrée musicale. Pour ce premier épisode : les new-yorkais de The Rapture, qui nous ont fait danser tout l’été avec leur hymne festif How Deep Is Your Love. Nouvellement signés sur le label DFA, Luke Jenner et ses camarades nous livrent un condensé d’électro pop aux influences variées avec leur quatrième album In The Grace Of Your Love, sorti après 5 ans d’absence.
On dit qu’elle peut influencer nos comportements, générer des insomnies, déjanter nos rythmes biologiques… La pleine lune sert aussi de prétexte à des milliers de fêtards pour investir des plages de Thaïlande ou de Corse sur des sets endiablés. Justement, la plage du Moorea à Ajaccio accueille samedi 13 août dès 18h de nombreux DJs (Edouard Rostand et Dj Oil notamment) pour sa Full Moon Party, où l’on pourra siroter une Singha, la fameuse bière thaï. Vous vous y voyez déjà…? Pour l’heure, la trilogie musicale de cette semaine dévoile sa face la plus lunaire…
S’il ne devait rester qu’un titre de la discographie de Blondie, ce serait Atomic, qui condense en 3:48 mn tout ce qu’un morceau peut avoir de sensuel et de rock à la fois. Autre anecdote qui a toute son importance : les riffs de guitare de la chanson sont directement influencés par Girl you’ll be a woman soon de Neil Diamond (inutile de vous rappeler que la reprise de Urge Overkill, reprise d’ailleurs dans Pulp Fiction, est l’un de mes titres fétiches..?) En bref, les trois pépites de ce week-end possèdent en eux toute l’essence de l’attitude de Debbie Harry : la volupté d’un diamant à l’état brut…