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De l’aurore à l’aube, la ville de Calvi laisse (pendant ou hors Calvi on the rocks) des souvenirs inoubliables : l’appel de son vieux train, La Micheline, le long des plages ; le charme de ses petites ruelles et de ses tables authentiques aux odeurs qui interpellent ; la lumière qui pèse sur sa citadelle et l’odeur du maquis qui subsiste sans que l’on s’en rende compte ; son port toujours bondé mais toujours serein ; les glaces artisanales (au Kinder Bueno ou même au Canistrelli !) ; les spécialités d’A Piazzetta (et l’attente avant de pouvoir les savourer) ; les virées nocturnes chez Tao et ses escaliers perilleux à plus de 0,5 g d’alcool dans le sang ; les pauses “paninis” en bas de la citadelle. La preuve en images, le reste en mémoire…
Sur les quatre plages, Diesel In Casa, Le Bout du Monde, L’Octopussy et Villa Schweppes Mar a beach – plus Les Dunes, une petite nouvelle avec la scène locale –, Calvi on the rocks a assuré début juillet sa réputation de festival les pieds dans l’eau. Retour en images sur ces quatre bouts de paradis entre air marin iodé et odeur du maquis…
De retour (la larme à l’œil et le cœur serré, je dois l’avouer…) et après avoir trié des centaines de clichés, voici un premier report de ce que l’on vit, tous les ans au mois de Juillet, avec du soleil, de l’alcool, des jolies filles, des beaux mecs, de belles rencontres, de jolies tenues de plage, des paillettes, du bon son, avec des DJ sets ou des lives inmanquables, des levers de soleil chez Tao, des Brocconcini à A Piazzetta, des massages sur la plage, du thé glacé Kusmi Tea, des panini à 4h du matin, des glaces sur le port… Calvi fait danser les bpm sur le sable, la musique au Zénith…
Dix ans, cinq jours multipliés par dix à humer les odeurs du maquis et de la pinède, à se laisser enivrer par le rosé et la musique… La dixième édition de Calvi on the rocks, sur la roche, laisse encore son empreinte sur le sable. Comme immortalisés, les 20 moments qui suivent ont été capturés en instantanés. Visages souriants, flots scintillants, citadelle à l’horizon, Time des Pachanga Boys résonne encore en nous donnant des frissons…
Les dix ans de Calvi on the rocks se sont déroulés en ce début de mois de juillet dans la baie corse, sur les flots ou la roche. Un festival de joie, de sourire, de danse, d’ivresse et de musique, une grand messe parfois bleue (avec Mr Tellier), parfois noire et blanche (avec le duo des hommes en noir Brodinski & Gesaffelstein). Une vraie communion entre la pop rock et l’électro, entre les nationalités, entre les labels, entre les gens… Voici un récapitulatif des différents articles sur cette édition 2012 réalisés en direct de la plage…
Le décompte a de nouveau commencé et les 360 prochains jours s’annoncent plus longs que jamais. Pour patienter un peu et pour se rappeler de tous ces moments aussi bons que fous, voici en vrac un aperçu en images des après midis à la plage In Casa lors de la dixième édition de Calvi on the rocks…
Grand habitué du festival, Brodinski n’a pas hésité à retourner le club chez Tao et l’Annexe du Club 24 avec son acolyte Gesaffelstein. Cette année, il a même retrouvé pendant quelques jours Guillaume de The Shoes, rémois comme lui, avec lequel il a récemment formé le projet Gucci Vump sur son label Bromance. Croisé sur la plage Diesel InCasa dès le premier jour, il nous parle de Calvi, de ses projets pour cet été et de ses habitudes pendant On The Rocks…
Peu de sommeil, du bon son, des blessures au pied, un semblant de migraine, des cernes… Voilà de quoi résumer ces premières 48h à Calvi. Pour ce deuxième jour, direction la plage Diesel InCasa à nouveau pour un set de The Hacker. Gesaffelstein est présent, il sera le soir même au Théâtre de Verdure pour clore la soirée après Kindness, The Shoes et Breakbot… Comme on dit Chez Tao : Vivez heureux aujourd’hui car demain il sera trop tard.
Du Landry, des glaçons, des filles aux couronnes de fleurs, des hommes couverts de paillettes, Batman, du bon son… Sur la plage dès 15h comme au Théâtre de Verdure le soir, ou chez Tao et à l’Annexe du club 24 jusqu’à l’aube, l’effervescence calvaise est à son comble. C’est les pieds dans le sable face à la plage d’Algajola, à 20 minutes de cette folie festive, que je vous fais un compte rendu du premier jour face à la Citadelle…
Le poète et philosophe anglais disait que “La mer joint les régions qu’elle sépare.” Cela pourrait être la légende de l’ensemble de l’oeuvre du photographe Joseph Szabo. Dans les années 1970, il s’est mis à photographier des inconnus à la plage. En noir et blanc, ses clichés qui forment la série Jones Beach sont empreints d’une certaine nostalgie. Ces instants qu’il saisit avec son appareil photo montrent une jeunesse américaine désinvolte et passionnée…
Voilà déjà une semaine que je suis rentrée de Calvi. Pendant sept jours, j’ai tenté de prendre du recul sur cette folie ensablée, sur ces cascades d’émotions, sur ces rencontres, ces concerts, ces bras levés et ces pieds qui tapent sur le dancefloor (de jour : la plage, de nuit : chez Tao). En guise de souvenir, j’ai donc décidé de consacrer le Mood Manifesto dominical à cette frénésie calvaise pendant On The Rocks…
Dans The Bay, le dernier clip de Metronomy, il a imaginé une Riviera anglaise chic et colorée, où turquoise et azur de la mer se reflétaient sur le gazon vert quasi fluo de cette ville balnéaire de Torquay. Tout de blanc vêtus, les quatre membres du groupe chantaient leur ode à leur pays natal où les mouettes et les voiliers semblaient répondre aux appels haletants de filles en maillots de bain blanc une pièce, perchées sur escarpins…