Florence and The Machine
Ce qui se produit dans notre cerveau lorsqu’on écoute de la musique est similaire à d’autres addictions plus palpables. En réalité, le niveau de dopamine augmente à l’écoute d’un morceau qui nous plaît. Une récente étude scientifique a également démontré qu’une région de notre cerveau mettait en correspondance nos attentes avec nos souvenirs musicaux et la musique écoutée, ce qui expliquerait que les goûts de chacun sont uniques. Pour comprendre tout ce cheminement, la playlist du week-end sollicite vos neurones pour diffuser un flux lent de dopamine et vous donner suffisamment de bien-être et de béatitude avec un edit de Litfiba, mais aussi C.A.R., Manfredas, Red Axes, mais aussi les remixes de Nicolas Jaar, Plaisir de France, Lulu Rouge et Golden Bug.
Se dit de “consensuel”, toute chose formée par le seul consentement des parties. Si la musique est un plaisir des sens, elle est aussi bien guidée par nos désirs que ce qu’elle ne les génère. Porteurs de sens, de souvenirs, plus efficaces qu’une Madeleine de Proust, une chanson, un air, une mélodie, nous suivent parfois toute une vie comme un premier amour qu’on n’oublie jamais vraiment. Quand on y pense, ce rapport inexpliqué qu’on entretient avec ces ondes plus ou moins positives ressemble en un sens à l’amour. Avec ou sans grand A.