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Un vent de nostalgie souffle sur nos groupes et artistes préférés. Après James Blake et son émouvante reprise de Simon & Garfunkel, Ménage à trois, Agar Agar, Oklou lui emboîtent le pas.
Gros coup de cœur pour les compositions de l’artiste Olivia Savage, qui signe notamment les…
La musique adoucit les mœurs et c’est toujours à partir de ce constat que les playlists du week-end offrent dix pépites musicales sur un plateau d’argent, chaque vendredi. Pour tenter d’oublier que 2015 a mal commencé, essayer d’oublier un instant les drames de janvier, février et mars, la nouvelle sélection de 10 titres pense au printemps, à la nature qui fleurit, au soleil qui se fait plus présent, aux vêtements qui se font plus légers, en espérant que l’actualité le devienne aussi. Pour savourer les premières heures du printemps, qui a débuté le 20 mars, place aux premiers bourgeons de l’année avec les nouveautés d’Action Bronson, WhoMadeWho, Agoria, Orestt (sur le label I’m A Cliché) et Tahiti 80, pour ne citer qu’eux. Bonne écoute !
La seconde édition de la nouvelle rubrique bi-sensorielle “À double sens” invoque la chaleur avec l’or et la couleur orange, tous deux au zénith. Première étape de cette incursion au pays des pépites métalliques, huit images triées sur le volet pour une chasse aux trésors visuels. La deuxième partie fait appel à vos tympans au son de Blood Orange, j’ai nommé le prodige Devonté Hynes qui réitère avec un nouvel extrait de Coastal Grooves : le clip sanguin I’m Sorry We Lied complète ce périple des sens…
À Monaco, il n’y a pas que Charlène Wittstock. Vogue a tranché. La princesse la plus en vue sur le Rocher, c’est bien elle : Charlotte Casiraghi. La fille de Caroline de Monaco (et donc petite-fille de Grace Kelly) fait la une du numéro de Septembre et redore le blason trop austère et solennel des têtes courronées du passé. Du haut de ses 25 ans, avec ses yeux de biche et sa bouche pulpeuse, elle incarne l’élégance moderne et la fraîcheur dorée…
S’il ne devait rester qu’un titre de la discographie de Blondie, ce serait Atomic, qui condense en 3:48 mn tout ce qu’un morceau peut avoir de sensuel et de rock à la fois. Autre anecdote qui a toute son importance : les riffs de guitare de la chanson sont directement influencés par Girl you’ll be a woman soon de Neil Diamond (inutile de vous rappeler que la reprise de Urge Overkill, reprise d’ailleurs dans Pulp Fiction, est l’un de mes titres fétiches..?) En bref, les trois pépites de ce week-end possèdent en eux toute l’essence de l’attitude de Debbie Harry : la volupté d’un diamant à l’état brut…
