brunch
La belle saison approche et avec elle, son flot d’événements invitant au farniente. Parmi eux,…
Un coin d’Orient en plein cœur de Marseille. Situé à deux pas du Longchamp Palace…
Aussi soudain qu’un tsunami, qu’un incendie en plein hiver ou qu’un selfie d’Afida Turner posté…
Ils sont partout, du coin de ta rue au prochain onglet qui va s’ouvrir sur Firefox, voire même dans la prochaine pub de W9 Sundance Channel. Au départ, le hipster se voulait anti mainstream mais à force d’être underground en masse, le phénomène est devenu tout le contraire de ce qu’il voulait être au départ : branché. Hype. Non convenu.
Jesse Garon le chantait en 1983 : C’est lundi ! Enchaînant par la même en quelques syllabes tout ce qui résume cette première journée de la semaine (le dimanche n’existant pas). “Dans mon lit / Il est 11 heures, Mal au cœur / Mal dormi / Envie de pipi, Déjeuner / Mon café, La radio / Trop c’est trop, Fait pas beau / Ouais fait pas chaud, Me laver / Me raser / M’habiller, Me peigner / Mes cheveux / hum bien coiffés…” À la place, on trouve la motivation dans le mix de Roman Flügel pour Groove Magazine, à écouter en passant en revue les 10 clichés triés sur le volet pour voir la vie du bon côté, avec Benicio, Brigitte, Uma et quelques jolies et/ou bonnes choses…
Brunch : mot-valise anglais, combinant les mots breakfast (petit-déjeuner) et lunch (déjeuner). À la manière d’Halloween, le brunch s’est (trop ?) vite imposé comme une tradition en France, sans vraiment de raison. En passe de devenir un vrai phénomène de masse, le brunch du dimanche a ses adeptes et ses détracteurs. Ce qui est “trop branché” devient vite trop coutumier . La légende “Brunch @…” sonne désormais un peu comme une ritournelle que tous les jeunes de 20 à 35 ans aiment répéter sur leurs sacro-saints réseaux sociaux, de Twitter à Instagram. Baguette fraîche, confiture maison, croissants, orange pressée et café noir : la playlist du week-end accompagne les vrais bons petits déjeuners français. Car rien de mieux que cela, même à 14 heures !
Chère Mama, Je me souviens de ton “Basilic” (à la vodka), de ton mojito sans alcool, ou de tes cocktails à partager à plusieurs. Je me souviens aussi de tes lives et de tes DJ sets (Tété, Axelle Lafont, ou quand je prenais d’assaut les platines avec Girls on the rocks). Je me souviens aussi de l’excellente salade de bœuf ou de ta tarte aux fraises dressées sur une crème de pistache, en dessert. Après tant de belles soirées, j’ai voulu aussi tester tes nuits… Alors, dormir au Mama Shelter Marseille, ça donne quoi ?
