Pépites en mode off #35 : Rêve électrique.

n s’associant, Philip Oakey (The Human League) et l’italien Giorgio Moroder, considéré comme l’un des pionniers du disco, ont mis le feu aux poudres. Leur Electric Dreams, titre phare du film éponyme, fit briller les années 80 de son rythme entraînant quasi récréatif et subtilement pailleté. La trilogie musicale de cette semaine rend hommage à cette période brillante, aussi créative qu’euphorisante, avec trois pépites capables de faire tournoyer la boule à facettes sur une plage argentée…

via Endless Me

Dimanche 07.00 pm :
Le week-end commence sur des notes disco groovy au son de l’américaine Fern Kinney et de son hymne aussi mélancolique que sensuel, Love me tonight. Disco Bloodbath a d’ailleurs récemment sorti un edit du titre (via monsieur Mimikaki qui a relayé l’info). Idéal pour les dimanches soirs langoureux.

••• à déguster avec un verre de Chardonnay.

Samedi 06.00 pm :
18 heures, face au crépuscule qui s’annonce et au ciel qui perd de son bleu azur pour se fondre dans un dégradé violet/rouge orangé, on entend presque Joseph Mount nous susurrer “It feels so good in the bay“. On arrête d’user cet English Riviera sur nos platines, et à la place on opte pour l’indétrônable Together in Electric Dreams de Philip Oakey et Giorgio Moroder, dont je vous parlais plus haut.

••• à déguster avec un shot de Jaeggermeister.

Dimanche 10.00 pm :
Nul doute qu’en pleine période eighties, les dimanches soirs devaient être mille fois plus enjoués qu’aujourd’hui. Pour ne plus jamais redouter la tristesse de ces soirs où l’on aimerait que le lendemain ne vienne jamais, on s’offre un remix de Human League concocté avec soin par l’australien Felix Bloxsom aka Plastic Plates.

••• à déguster avec du Bailey’s on the rocks.