Ce collectif londonien au nom autant évocateur (pour le genre musical) que troublant (littéralement “disco viande de cheval”) a été fondé par deux DJs, Jim Stanton et James Hillard. Pour la petite anecdote, ils ont choisi ce nom en lisant le journal, qui titrait “Horse Meat Discovered” : “Le journal était posé dans la cuisine, et un bol était posé sur le titre, qui cachait la fin de la phrase, il ne restait plus que “Horse Meat Disco”, et voilà comment le nom a été trouvé !”
A la base, Horse Meat Disco ce sont des soirées disco underground, dans un esprit “queer for everyone” et depuis Août, des compilations qui regroupent leurs pépites disco survitaminées. Pour preuve, on peut trouver leur premier (double) opus au concept store parisien Colette et chez Oogie lifestore à Marseille, deux temples de la musique pointue. Et s’il ne devait rester que trois titres, à écouter en boucle : “Orchestra Shark Bite” de Richard Hewson, sur la route, “Let me be your fantasy” de The Love Symphony Orchestra, et au petit matin après une nuit blanche “(Got my) Dancing Shoes” de Plaza.
The Phenomenal Handclap Band
remixé par Horse Meat Disco
Originaire de Marseille depuis 34 ans, installée à Aix-en-Provence. N'aime ni l'air chaud du métro, ni les fruits de mer. Mexican Tacos Addict. Écrit aussi pour Sessùn et Konbini.