‘un romantisme quasi théâtral, le défilé Couture du printemps 2015 de la Maison Valentino a atteint des sommets dans l’élégance. Comme tout droit sorties d’une pièce de Shakespeare, les robes font honneur au rouge Valentino, mais aussi à l’or, aux fleurs – qu’elles soient cousues ou dans les cheveux – et surtout à l’amour, qu’il s’exprime en italien ou en russe…
Avec, d’une part la grandeur majestueuse de robes longues et fluides qui ne lésinent sur aucun détail ; et d’autre part, la fausse candeur de petites robes courtes brodées qui font ressembler les mannequins à des poupées russes, Valentino signe un défilé à plusieurs temps. Rappelant parfois le romantisme italien, d’autres fois le folklore russe ou d’autres fois encore, les robes qu’auraient pu porter les héroïnes de Jane Austen, Maria Grazia Chiuri et Pierpaolo Piccioli ont réussi à nous en mettre plein les yeux.
Là où parfois, le mordoré se suffit à lui seul, combiné à des voilages noirs, le beige trouve ses lettres de noblesses avec des broderies mutlicolores.
Les accessoires et détails
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